Le concours FantaxYou à destination des nouveaux talents de YouTube revient pour une troisième édition ! À l’occasion du lancement de celle-ci, nous avons eu la chance de visiter le Fanta Creative Space, le nouveau lieu dans lequel les candidats s’affronteront au cours d’épreuves créatives hautes en couleur ! Ces derniers ont été directement sélectionnés par leur coach suite à des vidéos créées et postées spécialement pour le concours. Nous vous emmenons à la découverte de ce lieu exceptionnel dédié à la création.

Un programme de co-création entre
Fanta et les jeunes talents

Après deux saisons réussies, Fanta renouvelle sa confiance dans les jeunes créateurs avec une troisième édition du FantaxYou.

Ce mardi, 14 participants triés sur le volet ont pu découvrir aux côtés de leur coach, Natoo, McFly & Carlito, Amixem et Le Rire Jaune, leur équipe ainsi que le Fanta Créative Space, un espace entièrement repensé à l’occasion de ce concours hors normes.

De gauche à droite : Mcfly, Natoo, Amixem, Kevin Tran (Le Rire Jaune) lors de l’ouverture du Fanta Creative Space

Les candidats auront l’opportunité de créer des contenus avec les meilleurs profs du digital et pour l’un d’entre eux, de gagner un an de contrat chez Talent Web pour produire ses vidéos. Les candidats devront redoubler de créativité, de folie et d’énergie pour devenir le «Top Creator » de cette troisième saison FantaxYou.

Pour ce faire, chaque team participera à trois sessions créatives avec GIMS, NORMAN et LUDOVIK afin de développer leur talent et se dépasser. Pour chacune de leur session, les ambassadeurs donneront aux jeunes créateurs un défi avec une thématique Fanta :

1.LUDOVIK : un format court sur la nouvelle saveur mangue fruit du dragon

2.GIMS : un clip musical en intégrant la gamme Fanta

3.NORMAN : un court-métrage sur le thème d’Halloween

Ludovik, ambassadeur pour la session du format court pour le concours FantaxYou 3

Découverte du Fanta Creative Space  

Cette année, le Fanta Creative Space ouvre ses portes aux candidats sélectionnés pour un nouveau programme déjanté. Les jeunes participants vont ainsi pouvoir stimuler leur créativité et apprendre à réaliser des vidéos digitales – du script à la post prod – dans un environnement de compétition, grâce aux différents programmes de coaching animés par des influenceurs de talent.

Format court, clip, ou encore court métrage pour les finalistes, le Fanta Creative Space offre à ses candidats une vraie formation. Et pour cela, c’est au total 800 m2 qui ont entièrement été repensés et re-configurés, dans le même esprit que les YouTube Space à Paris ou Los Angeles afin de rendre possible leur émancipation créative et leur donner les moyens de réaliser leur rêve.

Fanta ouvre le champ des possibles en libérant la personnalité de chaque jeune créateur et en les aidant à se dépasser pour révéler une version plus pétillante, originale et savoureuse d’eux-mêmes grâce à un programme complet et du matériel audiovisuel.

Les participants disposent donc d’un espace de vie pour travailler et écrire, d’un baby foot, d’une salle informatique munie des meilleurs logiciels de montage, de pièces de tournages entièrement amovibles avec des grilles de lumières, un fond vert, de costumes, de distributeurs de boissons rafraîchissantes dispersés dans le Creative Space… Mais ce n’est pas tout ! Cette année Fanta voit les choses en grand et offre à ses candidats, l’accès à un rooftop ultra spacieux avec vu sur la Tour Eiffel !

L’ouverture du Fanta Creative Space a également été l’occasion pour nous de rencontrer Kevin Tran du Rire Jaune. Le créateur a pu nous en dire plus sur sa position de coach pour cette troisième édition du FantaxYou.

Interview de Kevin Tran a.k.a Le Rire Jaune

Bonjour Kevin. Merci de nous accorder cette interview. Pour commencer, peux-tu nous expliquer pourquoi tu as décidé de retenter l’expérience FantaxYou ?

Kevin – Parce que l’an dernier c’était vraiment cool ! Déjà parce que Thomas a gagné dans mon équipe. En voyant sa joie, j’étais presque plus heureux pour lui que pour tous les succès que moi j’ai pu vivre dans ma vie. Et ce qui est cool aussi, c’est que YouTube te permet de façon générale de rencontrer des gens de tous les horizons. Avant, je ne connaissais que des gens qui avaient fait de grandes études, etc. Grâce à YouTube, j’ai pu connaître des acteurs, des sportifs, des gens en école de ciné. Moi, ça me permet de m’ouvrir l’esprit et de garder les pieds sur terre.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de la 2ème édition ?

Kevin – Le premier jour quand je les ai rencontrés, aussi bien pour eux que pour moi, c’était la première fois qu’on participait à ce concours, donc ça m’a forcement fait quelque chose. Les meilleurs souvenirs, c’était aussi quand on travaillait pour la pub tous les soirs jusqu’à très tard dans la nuit pour préparer le dossier. Le jour de la présentation, c’était marrant parce qu’à un moment, le jury a posé une question et qu’on avait préparé des slides au cas où ils allaient poser cette question. On a pu lui dire : “Alors justement, ça tombe bien parce que BIM » haha.

Et puis évidemment, quand Thomas a gagné ça m’a fait quelque chose. J’étais fier, j’étais content surtout, parce que je sais à quel point il avait travaillé.

Quelles sont les différences entre la 2ème et la 3ème édition ?

Kévin – La différence entre cette aventure et celles d’avant ce sont les prix à gagner. L’an dernier il y avait une pub à remporter, le grand prix final qui était le contrat avec talent web et l’enveloppe pour pouvoir produire ses vidéos. Cette année, il y a 4 prix : un prix à la fin de chaque session. L’équipe qui gagne peut travailler avec l’ambassadeur en question et un quatrième prix, qui est le même que l’an dernier, à savoir bosser avec une équipe de production.

La sélection des candidats se fait-elle par coup de coeur ?

Kévin – L’an dernier, j’ai sélectionné quatre personnes. J’ai fait exprès de les sélectionner différemment : j’ai pris une fille qui jouait très bien, j’ai pris un gars qui réalisait bien, un gars qui écrivait bien, une personne qui est un peu “fofolle”, qui apporte la folie dans les idées. Et ce qui était bien, c’est qu’ils se complétaient parfaitement. Il n’y avait pas de guerre, quand un tel disait “c’est moi qui joue le mieux“, les autres disaient “oui c’est vrai c’est toi qui joue mieux“.

Alors cette année, j’ai fait exprès de changer, j’ai pris trois personnes avec un profil très similaire pour créer un peu de friction, un peu de tension. Et puis aussi parce que je pense que par rapport au format de cette édition, c’est plus logique. Les 3 sessions s’articulent autour de la réalisation, autour de l’écriture… Et donc il y  a moins de place pour une personne qui sait mieux jouer par exemple, ou une personne qui apporte de la folie. Par rapport aux trois sessions, c’était mieux de prendre des personnes qui aiment le contenu très travaillé, qui sont très cartésiens dans leur approche de ce qu’est l’audiovisuel. Les trois sont en école de cinéma.

Peux-tu nous présenter les membres de ton équipe ?

Kévin – Ce que j’aime, c’est qu’il y en a un qui a 17 ans, un qui a 20 ans et l’autre 29 ans. Donc même s’ils aiment les mêmes choses, il y a un respect qui va automatiquement s’instaurer de par l’âge et l’expérience.

Alors le premier membre de ma team s’appelle Lilian, il a 17 ans et l’an prochain il va en école de ciné donc l’audiovisuel ça le passionne vraiment. Le deuxième c’est Léo, il a 20 ans. Il fait des études de maths avec une option audiovisuelle. Il est un peu plus discret, un peu plus introverti, mais on vient de faire une partie d’échec et je l’ai battu, haha. Le dernier c’est Mathieu qui a 29 ans. Il a été journaliste de guerre pendant 10 ans, ça fait trois mois qu’il est sorti de son travail et il se retrouve dans ce concours ! Ca se voit qu’il a beaucoup de vécu, qu’il a vu des choses bien plus graves que tout ce que l’on a pu voir dans notre vie, je pense.

Ca va être intéressant de voir comment les trois fonctionnent ensemble.

À quelle fréquence seras-tu présent pour conseiller et guider les candidats ?

Kévin – Je suis là aujourd’hui (ndlr : le jour de l’ouverture du Fanta Creative Space) et je suis présent le jour du verdict, donc la semaine prochaine. Mais entre-temps, on travaille ensemble. Par exemple, aujourd’hui on a bossé 3-4 heures sur l’idée que l’on allait proposer la semaine prochaine. Et le soir je leur fais des retours en leur expliquant ce qui est bien ou pas. Je suis présent continuellement en fil rouge.

Quels sont les points forts et les points faibles de ton équipe ?

Kévin – Ils sont tous les trois très matures dans l’audiovisuel, ce ne sont pas des personnes qui font des videos pour la première fois. Ils ont des bonnes idées de découpages et de plans.

Le point faible qui, pour moi, n’est pas quelques chose d’irrémédiable, c’est un point faible qui serait intrinsèque à YouTube qui fonctionne beaucoup à la personnalité dans le sens où il faut être très souriant et c’est ce qui manque un peu à mon équipe. Ils possèdent chacun de fortes personnalités, mais ils n’ont peut être pas « le facteur Natoo » : je souris et ça fait sourire la personne qui regarde.  

Thomas était le grand gagnant de l’édition précédente. As-tu de ses nouvelles ?

Kévin – Bien sûr. J’ai des nouvelles de tous les membres de mon équipe de l’an dernier. On fait des loups-garous ensemble et ils mentent très, très mal je les connais par coeur, haha. Cette expérience, je la fais parce que j’aime la création, j’aime partager ce que j’ai appris en 6 ou 7 ans de YouTube. J’aime tisser des liens avec de nouvelles personnes.

Un mot de la fin ? Un message à adresser à ton équipe et tes concurrents ? 

Kévin – Pour moi on est une équipe, on fait chaque session à fond. Ca ne sert rien d’envoyer des piques aux autres équipes.